Mouvement de boycott (BDS): création de la Haute Autorité de coordination contre le sionisme et la résistance à la normalisation
Le mouvement de boycott (BDS) a appelé à participer au hashtag "en faveur de la Palestine", dans le but de reconnaitre certaines personnalités qui soutiennent la cause palestinienne et rejettent la normalisation avec l'Etat d'occupation israélien, et a mentionné les noms suivants: prédicateur islamique "Tariq Sweidan", l'écrivain koweïtien, jordanien "Ibrahim Nasrallah", le président algérien "Abdel Majid Tebboune", l'ancien Premier ministre malais "Mahathir Muhammad", le président vénézuélien "Nicolas Maduro", petit-fils du leader sudiste "Mandela Mandela", journaliste "Ghada Aweys ", Père" Manuel Muslim ", Président de l'Assemblée nationale koweïtienne" Marzouq "Al-Ghanim" ...
Le mouvement de boycott (BDS) a également condamné l'entrée de colons israéliens dans la mosquée Al-Aqsa, tandis que les Palestiniens sont empêchés d'entrer sous le prétexte de la propagation de l'épidémie de Corona.
Le mouvement de boycott (BDS) a également publié une photo montrant "Avichai Adrai", le porte-parole officiel de l'armée d'occupation israélienne, célébrant la signature d'un accord entre le club "Maccabi - Haifa" et le club des Emirats Arabes Unis "Al Ain".
Par ailleurs, l'Autorité soudanaise des affaires Ansar pour le plaidoyer et l'orientation a annoncé son refus de participer à un forum "religieux" qui soutient la normalisation du Soudan avec l'Etat d'occupation israélien dans la capitale, Khartoum, qui est sous la supervision et l'organisation de l'ancien parlementaire connu pour ses positions en faveur de la politique d'occupation israélienne, «Abu Al-Qasim Bartoum».
Pour sa part, le ministre algérien des Affaires étrangères, Sabri Boukadoum, lors de la réunion d'urgence des ministres arabes des Affaires étrangères tenue au Caire, a réaffirmé la position ferme, inconditionnelle et solidaire de l'Algérie en faveur du droit du peuple palestinien de retrouver tous ses droits usurpés et d'établir son indépendance, État pleinement souverain avec Jérusalem comme capitale.
En revanche, le mouvement de boycott (BDS) a condamné l'arrivée d '«Abdel-Rahim Bayoud» à Tel Aviv pour commencer ses fonctions diplomatiques à la tête du bureau de liaison maroco-israélien.
Des militants anti-normalisation et des partisans de la Palestine ont annoncé la création du << Haut-Commissariat pour la coordination contre le sionisme et la résistance à la normalisation >>, basé à Istanbul, pour lutter contre la normalisation et déclarer l'année 2021 l'année de la Palestine et résister à la normalisation. Le chef de la L'Observatoire marocain contre la normalisation, Ahmed Wehman, et Ahmed Al-Naimi, secrétaire général de la Ligue ont été élus homologues émiratis pour résister à la normalisation. Ses membres comprenaient des militants du Maroc, d'Algérie, de Palestine, du Liban, du Sénégal, de Tunisie, de Syrie, du Ghana, des Émirats, de Bahreïn, de Malaisie, de Grande-Bretagne, d'Irak, de Côte d'Ivoire, du Koweït, de Mauritanie, du Soudan, d'Indonésie, de Libye et de Jordanie.
Dans le même ordre d'idées, le mouvement de boycott (BDS) a renouvelé sa demande aux autorités égyptiennes de libérer immédiatement le militant des droits humains et coordinateur du mouvement de boycott en Égypte, Rami Shaath, qui est détenu par les autorités égyptiennes sans inculpation ni jugement.
Le mouvement de boycott (BDS) a également condamné la rencontre de l'ambassadeur d'Israël aux États-Unis d'Amérique, Gilad Arden, de l'ambassadeur du Maroc, Lalla Jamala Al-Alawi, pour discuter de l'avenir de la normalisation entre l'État d'occupation israélien et le Maroc.
Dans le même contexte, des militants français solidaires de la cause palestinienne en France ont organisé un stand de protestation devant l'une des lignes du «groupe Egis», entreprise leader dans le domaine de l'ingénierie du bâtiment et des services de transport, appelant au boycott en raison de son soutien aux bus israéliens qui construisent des colonies qui ont été criminalisées par le Conseil de sécurité et le droit international.
La déclaration finale du sommet africain a appelé à la fin de toutes les formes d'interaction avec l'Etat d'occupation israélien.